Merci donc aux auditeurs qui voudront bien prendre le temps de répondre à ce questionnaire.
- Peut-on réaliser tous ses désirs?
- Qu'est-ce que le manque?
- Peut-on ne rien désirer?
- Comment fait-on pour prendre ses désirs pour des réalités?
- Quels sont les désirs les plus forts?
- L'appétit ne peut-il venir qu'en mangeant?
- Le plaisir est-il la finalité du désir?
- Qu'est-ce qui est le plus susceptible de combler nos désirs?
- Y a-t-il des désirs condamnables?
- La jouissance est-elle un droit?
- N'y a-t-il d'autre amour que passionnel?
- Les désirs ne sont-ils qu'une question de goût?
- Est-on libre de ses désirs?
- L'inconscient peut-il travestir nos désirs?
- Faut-il assouvir ses désirs pour être heureux?
3 commentaires:
1.Peut-on réaliser tous ses désirs?oui si c'est vouloir ce qu'on fait et pas faire ce que l'on veut.
2.Qu'est-ce que le manque? c'est un vide dans lequel le désir peut se lover.
3.Peut-on ne rien désirer? oui si on est un animal ou déprimé.
4. Comment fait-on pour prendre ses désirs pour des réalités ? en voulant ce qu'on fait.
5 Quels sont les désirs les plus forts? les désirs contenus.
7. Le plaisir est-il la finalité du désir? oui si finalite= fin , non si finalité= but
8. Qu'est-ce qui est le plus susceptible de combler nos désirs: le manque, l'absence.
13. On est libre de ses désirs si on les a refoulés mais alors on devient aliéné au refoulement.
11. Non il y a l'amour quand 2 vides se conjuguent c'est à dire que chacun peut se vautrer dans le vide de l'autre, ce que n'offre pas l'amour passionnel qui est un amour "plein" où l'autre est l'objet d'amour qui doit "combler".
14. oui l'inconscient peut travestir nos désirs par le refoulement, on peut penser qu'on ne désire pas ici travestir = cacher .
10.Si la jouissance était un droit( de l'homme), on pourrait porter plainte d'en être privé, on pourrait le bafouer, le transgresser. A chacun son désir et donc sa loi , et la jouissance suivra.
Bonjour à tous
Bon, finalement … - Je pense que les questionnaires proposés sont intéressants nous permettant de prendre conscience de notre désir, nous questionner sur notre propre envie. J’ai pu remarqué que beaucoup de personnes s’intéressent au cours mais c’est dommage que peu de personnes contribuent à ces questionnaires. Bon si vous choisissez d’être spectateurs, ne moquez vous pas de moi, ou au moins, pourquoi ne pas réservez vos habilles d’échange… :> (Je m’excuse pour mon français, et l’erreur humaine possible …)
Q1- Peut-on réaliser tous ses désirs? – Sincèrement e mot « tous » me fait vraiment peur. Pour moi, le mot « tous » et le mot « Non » va dans le même sens. C’est vrai, Il n’est pas possible d’interdire les gens de ne pas penser, dans tous ses état, y compris ceux qui sont néfastes and antihumain, il est de même pour les désirs. Mais faut-t-il interdire les gens de ne pas penser ou désirs ? Et comment ? Sincèrement, je pense qu’il n’est pas un crime de tout penser ou tout désirer si ce n’est qu’un état mental mais quand à la réalisation de ces pensées, ces désirs, c’est une autre histoire.
Donc, moi, je ne crois pas on peut réaliser tous ses désirs.
Q3- Peut-on ne rien désirer? Je pense, et ce n’est mon opinion personnel, qu’on ne peut pas vivre sans désirer, cela est d’abord question biologique et instinct. Sans désir = la mort (ou état de rien)
Dans la philosophie bouddhique, le désir est quelque chose de terriblement néfaste, une question qui fâche et qui fait peur. A ce titre pour le bouddhisme, le désir est la source de souffrance (le désir, le désir engendre la soif, la soif engendre l'attachement, l'attachement engendre l'existence (interminable réincarnation), et existence, c’est la souffrance) – Donc pour arriver à Nirvana, c'est-à-dire à rien, on supprime le désir donc existence. Je suis révoltée, cette théorie que beaucoup des asiatiques y attachent et y identifient comme un idéal, un salut absolu, fait beaucoup de mal et la souffrance parmi les peuples opprimés. Ils sont devenus des proies faciles, des esclaves de leur propre idéal. Mais comment faire ?
Q4- Comment fait-on pour prendre ses désirs pour des réalités? Cela n’est qu’une question de désir, détermination et de bon sens.
Q5- Quels sont les désirs les plus forts? Pour tous les êtres vivants, et sans exception, le survivre et la reproduction, tels sont nos désirs les plus forts et les plus fous qui nous rendent dans tous nos états.
Inconsciemment, tous nos activités primaires tels qu’ils soient, plus évolués et attractives à de simples nécessités primaux, tout tourne atour de ces deux thèmes.
Q6- L'appétit n’a peut-il venir qu'en mangeant? Oui, je pense que l'appétit peut venir qu'en mangeant et inversement, cela dépend le sujet et l’objet de nos désirs.
Q7- Le plaisir est-il la finalité du désir? En amour et comme tant d’autre, ce sera triste si le plaisir est une finalité du désir. Le plaisir c’est une satisfaction d’un désir mais en aucun cas, une finalité du désir. Si on compare à un instrument de musique, le plaisir est la jolie mélodie de l’instrument et l’acte de jouer cet instrument.
Q8- Qu'est-ce qui est le plus susceptible de combler nos désirs? ( ? bon) Probablement, la satisfaction suprême, idée d’avoir attient son objectif, avoir satisfait à ses besoins et ses exigences et encore…..
Q9- Y a-t-il des désirs condamnables ? Je pense que les humains peuvent aller très loin dans leurs désirs et les actions qui les accompagnent. Sincèrement, je pense que « Oui » il y a des désirs condamnables quand ces désirs peuvent nuire l’autrui ou notre humanité, et bien sure non dans l’acte abstrait du désirer mais dans la matérialisation ou réalisation de ces désirs. La liberté n’est pas l’anarchique, mais droits, devoir et le respect.
Q10- La jouissance est-elle un droit? Est-ce que la jouissance est-elle un droit? Cela peut encore discuter. Qui peut fixer ses règles et ses frontières, et comment ? Je pense, et ça n’engage que moi, la jouissance un droit et à la fois un devoir pour tous. Cela est une question de moralité et humanisme. Malgré la méfiance et l’animosité que les hommes ont les uns envers les autres, mais pour être vraiment heureux, homme a besoins ses prochains et le bonheur de ses prochains, tel est l’acte suprême et inconscient même de politique.
Q11- N'y a-t-il d'autre amour que passionnel? En état absolu des choses, je ne crois pas qu’il existe d'autre amour que passionnel mais souvent on choisit de l’ignorer, ceci dit, il existe dans ce monde, tout état et toute forme de ce qu’on appelle l’amour.
Q12- Les désirs ne sont-ils qu'une question de goût? Je pense que nos besoins ou désirs primates sont tous identiques qui valent de l’animal, peuple primate ou plus évolué, c’est l’acte de réalisation de ces désirs qui sont différents. A savoir, c’est quand on apprendre à connaitre nos désirs, nos émotions qu’on peut mieux les raffiner et les achever.
Q13- Est-on est libre de ses désirs ? Je pense qu’on est tout pris par nos désirs une manière ou une autre, mais en apprenant à les connaitre qu’on peut mieux les maitriser, les orienter.
Q14- L'inconscient peut-il travestir nos désirs? Je pense que les questions 13 et 14 sont plus ou moins semblables. Oui, je pense que nous sommes tous, une manière ou une autre, inconsciemment répètent les gestes et les faits (même les traits mentaux) primates de nos ancêtres lointaines, y compris dans ceux que nous désirons. Mais je pense ce n’est pas un fatalisme, au contraire, on est capable de les maitriser et les faire évoluer, (attention, dans le bon sens comme mauvais), et puisque les transmettre à notre humanité.
Q15 - Faut-il assouvir ses désirs pour être heureux? Peut-être le bonheur n’est-il pas qu’un état mental ? Cela varie d’un sujet à l’autre. On peut être heureux avec de peu qu’on a comme on n’aurait jamais assez avec ce qu’on a même on est riche, noyé dans tous les confortes matériels. On veut encore et toujours et jamais assez. Ou peut être notre vrai bonheur n’est-t-il pas le sentiment d’avoir assuré aisément et confortablement notre propre survive et ce de notre espèce ? Et cela ivre and hante notre vie, nous envoie dans tous nos états même de commettre les crimes les plus atroces ….. Est-ce que cela est droit aussi ? Et les victimes alors ....?
Bopha Angkor
Bonsoir,
Désolée pour les fautes en français. Je viens de passer revoir mon message posté ici, bonjour pour le français, c’est vraiment limite limite. Il faut dire, il était tard, la fatigue et l’imperfection de la maitrise de la langue française. Je pense qu’une petite rectification est nécessaire pour permettre à mieux passer le message. Je m'excuse pour l’ennui occasionné. Je remercie Mr Grégoire s’il peut supprimer mon premier post - Bonsoir et à l’année prochaine. (*J’ai décidé d’enchainer les cours psychologie d’abord, mais essayerai de passer ici de temps en temps pour mieux suivre votre cours l’année prochaine, j’espère..)
Texte rectification:
Q1- Peut-on réaliser tous ses désirs? – Sincèrement e mot « tous » me fait vraiment peur. Pour moi, le mot « tous » et le mot « Non » va dans le même sens. C’est vrai, Il n’est pas possible d’interdire les gens de ne pas penser, dans tous ses états, y compris ceux qui sont néfastes ou antihumains, il est de même pour les désirs. Mais faut-t-il interdire les gens de ne pas penser ou désirer ? Et comment ? Sincèrement, je pense qu’il n’est pas un crime de tout penser ou tout désirer si ce n’est qu’un état mental mais quand à la réalisation de ces pensées, ces désirs, c’est une autre histoire. Donc, moi, je ne crois pas on peut réaliser tous ses désirs.
Q3- Peut-on ne rien désirer? Je pense, et ce n’est mon opinion personnelle, qu’on ne peut pas vivre sans désir ou désirer, cela est d’abord question biologique. Sans désir = la mort (ou état de rien)
Dans la philosophie bouddhique, le désir est quelque chose de terriblement néfaste, une question qui fâche et qui fait peur. A ce titre pour le bouddhisme, le désir est la source de souffrance ( le désir engendre la soif, la soif engendre l'attachement, l'attachement engendre l'existence (interminable réincarnation), et existence, c’est la souffrance) – Donc pour arriver à Nirvana, c'est-à-dire à rien, on supprime le désir donc l’existence. Je suis révoltée, cette théorie que beaucoup des asiatiques y attachent et y identifient comme un idéal, un salut absolu, fait beaucoup de mal et la souffrance parmi les peuples opprimés. Ils sont devenus des proies faciles, des esclaves de leur propre idéal. Mais comment faire ?
Q4- Comment fait-on pour prendre ses désirs pour des réalités? Cela n’est qu’une question de désir, détermination et de bon sens.
Q5- Quels sont les désirs les plus forts? Pour tous les êtres vivants, et sans exception, le survivre et la reproduction, tels sont nos désirs les plus forts et les plus fous qui nous rendent dans tous nos états.
Inconsciemment, tous nos activités primaires tels qu’ils soient, plus évolués et attractives à de simples nécessités primaux, tout tourne atour de ces deux thèmes.
Q6- L'appétit n’a peut-il venir qu'en mangeant? Oui, je pense que l'appétit peut venir qu'en mangeant et inversement, cela dépend le sujet et l’objet de nos désirs.
Q7- Le plaisir est-il la finalité du désir? En amour et comme tant d’autre, ce sera triste si le plaisir est une finalité du désir. Le plaisir c’est une satisfaction d’un désir mais en aucun cas, une finalité du désir. Si on compare à un instrument de musique, le plaisir est la jolie mélodie de l’instrument et l’acte de jouer cet instrument.
Q8- Qu'est-ce qui est le plus susceptible de combler nos désirs? ( ? bon) Probablement, la satisfaction suprême, idée d’avoir attient son objectif, avoir satisfait à ses besoins et ses exigences et encore…..
Q9- Y a-t-il des désirs condamnables ? Je pense que les humains peuvent aller très loin dans leurs désirs et les actions qui les accompagnent. Sincèrement, je pense que « Oui » il y a des désirs condamnables quand ces désirs peuvent nuire l’autrui ou notre humanité, et bien sûr non dans l’acte abstrait du désirer mais dans la matérialisation ou réalisation de ces désirs. La liberté n’est pas l’anarchique, mais droits, devoir et le respect.
Q10- La jouissance est-elle un droit? Est-ce que la jouissance est-elle un droit? Cela peut encore discuter. Qui peut fixer ses règles et ses frontières, et comment ? Je pense, et ça n’engage que moi, la jouissance doit être un droit et à la fois un devoir pour tous. Cela est une question de moralité et humanisme( ?). Malgré la méfiance et l’animosité que les hommes ont les uns envers les autres, mais pour être vraiment heureux, l’homme a besoins ses prochains et le bonheur de ses prochains, tel est l’acte suprême et inconscient même de la politique.
Q11- N'y a-t-il d'autre amour que passionnel? En état absolu des choses, je ne crois pas qu’il existe d'autre amour que ce de passionnel mais souvent on choisit de l’ignorer, ceci dit, il existe dans ce monde, tout état et toute forme de ce qu’on appelle l’amour.
Q12- Les désirs ne sont-ils qu'une question de goût? Je pense que nos besoins ou désirs primates sont tous identiques qui valent de l’animal, peuple primate ou plus évolué, c’est l’acte de réalisation de ces désirs qui sont différents. A savoir, c’est quand on apprendre à connaitre nos désirs, nos émotions qu’on peut mieux les raffiner et les achever.
Q13- Est-on est libre de ses désirs ? Je pense qu’on est tout pris par nos désirs une manière ou une autre, mais en apprenant à les connaitre qu’on peut mieux les maitriser et les orienter (donner un sens)
Q14- L'inconscient peut-il travestir nos désirs? Je pense que les questions 13 et 14 sont plus ou moins semblables. Oui, je pense que nous répétons tous, une manière ou une autre, inconsciemment, les gestes et les faits (même les traits mentaux) primates de nos ancêtres lointaines, y compris dans ceux que nous désirons. Mais je pense ce n’est pas un fatalisme, au contraire, on est capable de les maitriser et les faire évoluer, (attention, dans le bon sens comme mauvais), et puisque les transmettre à notre humanité.
Q15 - Faut-il assouvir ses désirs pour être heureux? Peut-être le bonheur n’est-il pas qu’un état mental ? Cela varie d’un sujet à l’autre. On peut être heureux avec de peu qu’on a comme on n’aurait jamais assez avec ce qu’on a même on est riche, noyé dans tous les confortes matériels. On veut encore et toujours et jamais assez. Ou peut être notre vrai bonheur n’est-t-il pas le sentiment d’avoir assuré aisément et confortablement notre propre survive et ce de notre espèce ? Et cela ivre and hante notre vie, nous envoie dans tous nos états même de commettre les crimes les plus atroces ….. Est-ce que cela est aussi un droit? Et les victimes alors ?
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